Clermont 2024 : Comment ça s’est (vachement bien) passé

Allez, Sylvain, secoue-toi les puces. Ça fait dix jours que le nouveau festival du court-métrage de Clermont-Ferrand est fini, les gens attendent ton article de grand reporter avec la dernière impatience. Ou au moins l’avant-dernière. Bon, je suis sûr qu’il y aura au moins un lecteur qui préférera regarder ça que les pubs de Cyril Hanouna. Ton blog est une start-up disruptive pleine d’avenir. Je suis sûr qu’il peut encore tenir trois jours. Et dans le pire des cas, au moins tu auras proposé quelques chouettes films.

Clermont 2023 : Comment ça s’est passé

Cette semaine avait lieu la 45e édition du festival du court-métrage de Clermont-Ferrand, une merveilleuse excuse pour moi de sécher mes rares cours au profit d'une orgie cinématographique longue d'une bonne semaine. Contrairement à ce que j'avais fait il y a quelques années sur ma chaîne YouTube, je ne vais pas essayer d'avoir quelque chose à dire sur chacun des films visionnés : d'une part parce qu'il y en a beaucoup trop, d'une autre parce que ça n'aurait aucun sens. Place donc au meilleur de la sélection, ainsi que quelques autres productions qui ne m'ont pas vraiment plu mais qui pourraient bien attirer les curieux.

« Kung Fury » : C’est pour mon inculture

L'un des sous-genres de l'Imaginaire qui restent encore bah, à l'état de sous-genres imaginaires, serait une littérature et un cinéma rétrofuturistes qui s'inspireraient des années 80, poursuivant ainsi la visée de la musique synthwave. À l'image du steampunk et du dieselpunk, nous pourrions très bien avoir un mouvement synthwavepunk. (...) Or quel ne fut pas mon désarroi en apprenant la nouvelle : le tout premier film synthwave ne fut pas une épopée interstellaire avec force rebondissements, mais un faux nanar bien dégoulinant d'idiotie.

« La théorie de l’Univers » : J’en veux quinze, des comme ça !

"Le cinéma est à mon sens, l’Art le plus noble et le plus complexe. Il rassemble à lui seul diverses formes artistiques pour ne faire qu’un. Une merveilleuse alchimie visuelle et sonore : La littérature par l’écriture du scénario, le théâtre par la mise en scène et la direction d’acteurs, la photographie par le cadrage et  la prise de vue, la musique, associée à l’image pour donner du sens, la peinture, par la couleur, les contrastes et la lumière qui créent l’image.

Tout ceci pour former cet Art si subtil et tellement vecteur de sens, de rêves et de fantaisie, véritable miroir de notre réalité, parfois… Le cinéma parle du monde, le construit et permet de le comprendre.

"La Théorie de l’Univers" est un film qui parle des gens, de nous, des autres, d’Amour, de Haine, de désir, de l’enfance, de la mort, de solitude, de musique, de l’Univers et du temps… Celui qui passe."