TUGPÉUA #27

« Sylvain ! Sylvain ! — Qu'y a-t-il, Nathan, mon fidèle esc... serviteur ? La pizza UberEats est enfin arrivée ? — Hélas, non ! Le livreur s'est laissé convaincre par ta propagande ultragauchiste ! Et tu ne postes quasiment plus sur le blog ! — Bon, qu'est-ce qu'on peut trouver ? Pitié, pas encore un pot-pourri ! — On a rien d'autre avec ta feignasserie ! — Bon, on va faire avec ce qu'on a... »

Allô Allô + Dubioza Kolektiv + Cafard Palace au Clapier : Comment ça c’est passé

Le Clapier est une boîte de gauchos : quand on nous dit que ça commence à 20h, ça commence à 21h15. Pas grave, ma critique aura elle deux jours de retard. Par contre, j'ai vraiment senti que la soirée serait placée sous le signe de la sylvanitude quand je me suis rendu compte qu'il me serait dur de prendre des photos maintenant que j'avais confié mon téléphone et toutes les autres affaires de mon sac aux guichetiers. Ironie du sort, le premier groupe s'appelait Allô Allô.

La séance de minuit #4 Dead Can Dance : Rétrospective

Pour terminer cette série de La séance de minuit, j'avais envie de vous parler d'un groupe fédérateur, universel, qui mette tout le monde d'accord ; mais comment garder le même esprit quand il s'agit d'une série de rubriques qui, je le rappelle, est davantage de la musique pour hiboux qui veulent s'enjailler avec les crapauds que du rap de supermarché ? J'ai donc choisi des artistes ayant la particularité curieuse d'être à la fois cultes et de niche : vous les connaissez sûrement si vous vous intéressez un tant soit peu aux musiques alternatives ou si vous appartenez à la génération d'avant la mienne, je veux bien sûr parler de Dead Can Dance.

TUGPÉUA #23

L'année 2020 aura connu son lot de cauchemars, entre la pandémie, les extrémismes ou le film sur Sonic. Qu'importe, car même si Noël s'annonce aussi reluisant qu'un pet d'ornithorynque, c'est l'occasion pour nous de préserver plus que jamais notre solidarité (et vu ce qui s'annonce pour la suite, on va en avoir besoin...). C'est pourquoi retrouvons-nous donc pour ce dernier TUGPÉUA de l'année, avec deux disques que j'avais hésité à mettre dans les ovnis du post-rock parce qu'ils relevaient trop peu de ce genre... et quelques autres surprises.

TUGPÉUA SPÉCIAL N°300 : Les ÉCOUTÉ ET APPROUVÉ… de PAPA

Aussi étonnant que ça puisse paraître, votre fidèle serviteur tout amateur de blackgaze / dubstep / Arielle Dombasle / Patrick Sébastien qu'il soit avait un papa qui écoutait lui de la vraie musique. Après m'avoir abreuvé dix ans de folk irlandais jusqu'à ce qu'il m'en ressorte par les trous de nez, j'ai eu ma période rebelle où je dédaignais ce noble art (et tout ce que j'écoutais était MFM et Activ, triste époque). Pourtant, mon père a encore aujourd'hui cette mélomanie certaine qui finit par devenir contagieuse sur certains disques. En voici cinq (et même six) excellents pour fêter le trois centième article...

TUGPÉUA #21

Je suis de retour avec ce cher format principalement dédié aux découvertes musicales, avec des musiques de tous les genres, par moments pour une fois très engagées, notamment dans ce que j'affectionne sans doute un peu trop dans mes idéaux politiques, en bonne vermine anarcho-communiste. Mais je vous rassure, pas de prosélytisme de leur idéologie, et pour les plus réfractaires, il y aura également du blues, des voyages temporels et de la fantasy militaire pour enfants !

TUGPÉUA #19

Ça faisait longtemps, et ce mois n'y coupera pas, il y a trop de bonnes découvertes qui moisissent dans le grenier de ce blog pour que je n'en parle pas enfin. À voir, à lire, à écouter, il y a à boire et à manger.

TUGPÉUA #18

Notre monde est plus menacé que jamais : face à un mal non humain qui semble invincible, nos élites politiques doivent s'unir malgré leurs magouilles et leurs intérêts personnels quand des héros se dressent chaque jour pour sauver des vies. Et après on va dire que je suis un gamin parce que je lis de la high fantasy.

Trêve de blague à part, si vous n'aviez pas déjà reçu votre dose d'épique, voici quelques œuvres qui s'apprêtent à vous remettre sur les rails. Avec un ou deux trucs plus calmes ou ovniesques, voilà qui devrait faire votre fournée pour la semaine. Après tout, c'est pour votre cultu... Ah zut, c'est à la fin que je suis censé le dire.