Clermont 2024 : Comment ça s’est (vachement bien) passé

Allez, Sylvain, secoue-toi les puces. Ça fait dix jours que le nouveau festival du court-métrage de Clermont-Ferrand est fini, les gens attendent ton article de grand reporter avec la dernière impatience. Ou au moins l’avant-dernière. Bon, je suis sûr qu’il y aura au moins un lecteur qui préférera regarder ça que les pubs de Cyril Hanouna. Ton blog est une start-up disruptive pleine d’avenir. Je suis sûr qu’il peut encore tenir trois jours. Et dans le pire des cas, au moins tu auras proposé quelques chouettes films.

Clermont 2023 : Comment ça s’est passé

Cette semaine avait lieu la 45e édition du festival du court-métrage de Clermont-Ferrand, une merveilleuse excuse pour moi de sécher mes rares cours au profit d'une orgie cinématographique longue d'une bonne semaine. Contrairement à ce que j'avais fait il y a quelques années sur ma chaîne YouTube, je ne vais pas essayer d'avoir quelque chose à dire sur chacun des films visionnés : d'une part parce qu'il y en a beaucoup trop, d'une autre parce que ça n'aurait aucun sens. Place donc au meilleur de la sélection, ainsi que quelques autres productions qui ne m'ont pas vraiment plu mais qui pourraient bien attirer les curieux.

TUGPÉUA #25

Un recueil de mini-critiques à l'ancienne, avouez que ça vous manquait, pas vrai ? Mais écrit trop souvent, on finit par bâcler ses avis. Cette année, il y en a donc trois, pas un de plus. Le spécial Écouté & approuvé dont vous avez pu vous délecter hier, celui-ci plus classique... et un troisième qui est une surprise pour très bientôt.

Festival Tournez Jeunesse : Comment ça s’est passé

Si vous suivez le blog, vous savez que j'aime bien le court-métrage, et que pour le public et la critique, c'est juste du film amateur qu'on fait un samedi où il pleut avec le petit-cousin incarnant le Seigneur des Terres du Jardin et mamie le dragon ronflant de la Caverne du Salon. Et j'aime pas trop ça ! Je dis souvent le court-métrage est l'équivalent de la nouvelle dans le cinéma, incluant donc une forme plus ramassée et percutante, qu'il s'agit d'un moyen économique et permettant de proposer des choses qu'on ne distribuerait jamais autrement dans le cinéma français.